De l’accoutumance à la dépendance, il n’y à qu’un pas… Quel soulagement lorsque arrive notre pause cigarette, que notre carré de chocolat nous attends ou que notre petit verre d’alcool nous assure une bonne nuit. Qu’il est doux le parfum enivrant de cette confiserie, le goût voluptueux de notre boisson et la détente procurée par cette bouffée de nicotine ! Nos addictions sont une nécessité, une pause dans ces vies mouvementées où nous pouvons enfin nous détendre. Que ce soit l’alcool, la cigarette ou le chocolat, ces addictions majeures ont un effet apaisant mais néfaste. Et nos passions et destinées nous poussent d’une tentation vers une autre.
Pour couronner le tout, vos proches tiennent des propos accusateurs. Comme si cette petite faiblesse était si mauvaise qu’il faudrait incessamment la stopper. Bien que les médias communiquent sur les effets du chocolat, la dangerosité d’une cigarette et les risques liés à l’abus d’alcool, l’information est très diffuse. Raison pour laquelle cet article va reprendre des points d’informations simples sur les effets concrets de nos emprises, dès maintenant !
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Addiction première – la cigarette
L’emprise de la cigarette et sa nicotine a dépassé les frontières et les générations. Avec un pouvoir grandissant et une main mise sur toutes les économies du monde entier, le tabac assure une domination sans partage sur les dépendances. Beaucoup de chercheurs ont prouvé la nocivité certaine et cancérigène du tabac industriel. Beaucoup ont posté des vidéos, des tutoriels pour promouvoir l’arrêt de la nicotine. A tel point qu’une industrie s’est crée autour de l’arrêt du tabac. Une industrie pesant à elle seule plusieurs dizaines de millions de dollars. Un chiffre qui donne la mesure de l’impact du marché du tabac dans le monde.
Contrairement à la grande majorité des drogues, la nicotine détient une capacité unique, celle de détourner les centres sensoriels usuels pour s’attaquer directement aux zones de gratification du cerveau, via nos neurotransmetteurs. Au delà de la simple chimie il s’agit de génie biochimique ! Car en accédant directement à tous les capteurs du bien être et circuits de récompenses, la nicotine libère des niveaux très élevés de dopamine. A la clef, décontraction, euphorie et addiction. Capable de véritables frappes chirurgicales, s’attaquant à la voie mésolimbique, la nicotine de la cigarette est une arme de destruction massive, dévastant le corps entier après une simple bouffée.
Le pire étant qu’elle attaque aussi les personnes alentours par la nocivité de sa fumée. Et le tabagisme passif est assurément un mal invisible dont on ne parle pas. De récentes études ont pointé du doigt la négligence de parents, adolescents et autres citoyens face à leur entourage : les enfants exposés au tabagisme passif présentes plus de risques de développer des maladies cardiovasculaires. Une mauvaise nouvelle pour les parents peu soucieux de la pause cigarette à domicile.
Pour terminer avec le tabagisme passif, voici une liste des effets constatés sur les enfants :
irritation des yeux, de la gorge, du nez
trouble du système respiratoire
défaut de développement pulmonaire
affection de l’oreille
hyperactivité possible
tumeurs possible
La liste pourraient s’allonger mais semble suffisante pour vous rappeler de la prise en charge du problème. L’utilisation des outils modernes permet de connaître les risques auxquels chacun fait face avec des solutions adaptées telle que l’application mobile LIFEXTEND. Il en va de votre santé mais aussi celle de vos proches…
Dépendance numéro 2 – l’alcool
« Vino veritas » est une expression couramment utilisée. L’ivresse de verres alcoolisés peut assurer un bon moment. Véritable rassembleur, l’alcool permet de concilier des amitiés, si l’excès est éviter… Car dans les faits, les abus sont nombreux et la récurrence accélère des troubles déjà bien observés. Mais en amont d’une analyse des effets de l’alcool, plongeons nous dans les cause d’une surconsommation. Car au delà de l’esprit festif, se rendre malade par l’alcool cache souvent des causes réelles et sérieuses.
L’aspect psychologique d’une surconsommation de cet élixir est évident. Il faut cependant observer l’environnement de la personne emprisonnée dans cette dépendance. Car c’est bien souvent dans le travail, la famille, les loisirs ou encore les relations intimes que l’on peut trouver les causes profondes d’un mal être. Ce dernier se manifestant de diverses manières : l’alcool n’étant qu’une extension de ces dernières.
Au niveau des risques, ils sont assez reconnus : perturbation des neurotransmetteurs, atteinte du foie, pancréas, de l’appareil reproducteur et du système cardiovasculaire… La liste est longue et le sujet déjà traité mais il aurait été dommage de ne pas s’y attarder. Car de nombreux breuvages alcoolisés à base de plantes médicinales – à l’exemple de la Gentiane – ont des vertus fortes et intéressantes. Malheureusement, la mauvaise publicité des consommateurs nocturnes n’a pas aidé à la promotion de traitements préventifs alcoolisés…
Tentation n°3 – le chocolat
Plusieurs millénaires en arrière – en terre Américaine – les fèves et pulpes de cacao étaient broyées pour en produire une boisson très épaisse et amère. Une sorte de chocolat chaud aux épices sans lait ni sucre, tout naturel… Mais de nos jours, le chocolat s’invite partout : pas une confiserie ne propose une version chocolatée, le petit déjeuner des enfants est conditionné avec le bol de lait au chocolat. Pire, la science a parfaitement saisi le vif intérêt du chocolat par les femmes pour stimuler la consommation de cette douceur à chaque matraquage publicitaire. Mais quels sont les effets de cette addiction ?
Pour revenir à la gent féminine, le chocolat est riche en magnésium et il arrive parfois qu’une partie de l’addiction cacherait une carence forte de ce minéral précieux. Mais le cacao est aussi composé de plusieurs éléments qui affectent de manière chimique l’humeur et le bien-être. Consommé de manière modérée, un chocolat noir et pur obtiendra de bons effets sur le corps humain : caféine, théobromine, flavonols, tryptophane…
Malheureusement et dans de nombreux cas, le chocolat n’est pas consommé de manière modérée ni brut ou noir. C’est dans ce contexte que les effets positifs peuvent tout à fait se retourner contre leur hôte. L’occasion d’évoquer les toxines, ces éléments issus de la transformation d’une matière première vers un produit industriel : le chocolat possède de véritables sources de troubles pour le corps humain. Plusieurs chercheurs ont publiés des études passées inaperçues telles que le Professeur P. Crawford établissant un lien entre l’absorption de chocolat et les migraines et céphalées.
Publié dans le journal de la nouvelle Angleterre, il avait aussi été fait mention d’un lien entre l’absorption de chocolat et soda dans les personnes atteintes de diabètes… Les rapports sont nombreux et les citer ne fera qu’allonger la liste des problématiques trouvées.
Nous nous contenterons de vous faire un résumé des effets nocifs liés aux toxines et à la transformation du chocolat industriel quotidiennement ingéré :
trouble de la digestion
atteinte possible sur le cœur
perturbation du système sanguin
atteinte certaine sur le foie + calcul rénaux
perturbation de la prostate chez l’homme
Il était important de rétablir la vérité sur les addictions quotidiennes. L’important étant qu’il faut toujours ménager son estomac, car lorsque le système nerveux entérique est en bonne santé, les rares excès n’ont aucune incidence, aucune ! Mieux vaut un petit plaisir de temps en temps qu’une privation obligatoire imposée par le corps médical… La prévention sera toujours plus efficace que la guérison !