Le dioxyde de titane en cause
Présenté ainsi, ce nom paraît insignifiant, telle une autre énumération d’un composé chimique ou organique. Mais lorsqu’on prend note de son importance dans le domaine des médicaments, l’attention s’accentue. Car une étude de l’INRA publiée en 2017 dans la revue « Scientific reports » dénonce l’extrême nocivité des nanoparticules présentes dans ce composé utilisé également comme additif alimentaire sous l’appellation E171.
Déjà fortement présent dans de nombreux produits du quotidien, tel que les dentifrices, bonbons ou biscuits industriels, l’excès d’exposition à cette particule recèle de méfaits. Et l’ajout de cette enquête pose une nouvelle question : Tente t-on de nous empoisonner ? Car l’unique intérêt de cette substance est d’améliorer l’apparence d’un aliment / élément en augment son aspect de « brillance/éclat ». Rien de plus ! A croire que l’esthétique prime sur la santé.
Le problème des nanoparticules réside dans le fait que la taille est si réduite qu’elles pénètrent sans problème dans le ports de notre corps humain. Indétectable par nos systèmes de défense immunitaire, elle passent au travers de toutes nos barrières physiologiques. Conséquences, trouble du système immunitaire – pouvant se retourner contre soi-même ( maladie auto immune ) – ou lésions de type cancéreuses sur les parties vitales d’un organisme. Bien que le test n’a été effectué que sur des rats, leur compatibilité avec l’organisme humain ne présage rien de positif. Surtout que l’exposition à l’ensemble des produits contenant des nanoparticules augmente significativement : peinture, solvants, cosmétiques etc..
Opacité versus principe de précaution
Afin de garantir la sécurité de sa nation, un état prend régulièrement des mesures de confinement face aux dangers auxquels son peuple peut être exposé. Cette mesure inscrite dans les fondements de sa législation permet de maintenir un niveau sanitaire suffisant pour que chaque individu puisse prospérer. Désormais, à la lumière de ces nouvelles informations, le doute est permis. Car les intérêts des industriels et leur appétit pour de fortes rentes financières n’ont plus de limites.
Chaque année, des millions des personnes souffrent des excès d’exposition à des substances cancérogènes, affaiblissant le système immunitaire ou affectant le système respiratoire. Au point que les organismes perdent leur équilibre naturel ( homéostasie ) pour tomber malade. C’est à ce moment d’extrême fébrilité que les médicaments prescrits deviennent importants pour tout corps humain en souffrance. Pourtant, si vous êtes malade et que votre dévolu se porte sur l’un de ces médicaments, demandez urgemment un substitut sans présence de dioxyde de titane :
Efferalgan
Spasfon
Zyrtecset
Nurofen
Doliprane
Euphytose
Cette liste ne recense que les médicaments testés au sein de l’enquête. Assurément, elle doit être complétée et il ne tient qu’à chacun d’œuvrer pour son bien être. Soyez toutefois vigilant car les emballages n’affichent pas forcément la présence de nanoparticules. Il faut alors se tourner vers les détails des molécules utilisées et la présence de dioxyde de titane. Le principe de précaution invite à fuir tout médicament affichant l’additif E171 ou le dioxyde de titane. Il en va de votre santé, votre bien être et la joie qui va de paire.
Vous pouvez également découvrir toutes les solutions sans médicaments proposées par l’application Lifextend. Il suffit de télécharger cette dernière et de découvrir au travers des jeux et questions vos risques de santé et les moyens pour les éviter. Vous êtes prévenus !